Il y a peu de gens qui disent: ‟Je suis fort parce que je suis avec Dieu”, et surtout quand on est malade. Moi-même, je n’ai jamais voulu me plaindre que je me sentais mal, que j’étais malade, mais ça ne marche pas comme ça. J’essaie de me corriger, de rendre gloire à Dieu pour tout, même à travers la douleur, les larmes, le découragement. Il n’y a pas d’autre chemin de suivre le Christ. J’ai vu la puissance de Dieu: le père Nikolaï Guryanov restait allongé sur son lit, il était clair qu’il allait être rappelé à Dieu; mais il parlait de la beauté et du pouvoir de la vie.
Sans la volonté de Dieu, il ne se perdra pas un cheveu de votre tête (Luc 21 :18). La connaissance de notre faiblesse, de notre pauvreté spirituelle, doit conduire à une évaluation sobre de la manière de vivre, de construire nos relations avec Dieu. Rappelez-vous ce que le Seigneur a dit à l’homme malade pendant trente-huit ans: ne pèche plus, de peur qu'il ne t’arrive quelque chose de pire (Jean 5 :14). Nous savons que le Seigneur prend soin de chacun de nous, brûlant par Son amour le bagage de nos péchés accumulés.
Les paroles du Christ nous révèlent le sens spirituel de l’épidémie actuelle de coronavirus. Dieu a permis que cela se produise afin que nous puissions devenir différents. Que toutes nos paroles et tous nos sentiments soient donnés à Dieu et à Son amour. Pour qu’à travers nous, en tant que guides, le Seigneur puisse aider tous ceux qui viennent à nous dans la détresse, dans le désespoir.
Il ne sert à rien de deviner ce qui se passera demain. Un homme de foi doit se tenir fermement sur ses pieds et avoir une relation forte avec Dieu. Changeons notre caractère, nos habitudes, toute notre vie pour devenir chrétiens. Nous avons beaucoup de travail à faire pour le salut de nos âmes et de celles de nos proches. Le Christ est ressuscité!